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SEO Guide Search Console : A la découverte de l’outil incontournable

Par 11 juin 2018 0 Commentaires

Au cours de ces dernières années, Google a déployé tout un panel d’outils à destination des webmasters, développeurs et référenceurs de sites web. Parmi tous ces outils, la Search Console est un instrument gratuit permettant notamment un suivi échantillonné du trafic et de l’indexation d’un site.

Récemment, Google a commencé à déployer une nouvelle version de la SC que l’agence Clustaar va vous présenter au travers d’une série d’articles, afin de vous fournir les clés pour maîtriser cet outil incontournable dans le monde du SEO.

Mais tout d’abord, un petit tour d’horizon des avantages et possibilités qu’offre la GSC !

L'ancienne GSC vs la nouvelle

L’ancienne GSC vs la nouvelle

Pourquoi utiliser la Search Console pour son site ?

Comme dit précédemment, l’outil GSC permet de suivre les performances et la santé d’un site, quelle que soit sa typologie (e-commerce, blog, site vitrine, etc…).

Cet outil va vous permettre trois grands groupes de suivis :

  • Le suivi du référencement naturel, avec les onglets « Trafic de recherche » et « Apparence dans les résultats de recherche »
  • L’identification et le contrôle des faiblesses techniques du site, avec l’onglet « Index Google »
  • Le suivi du comportement de Google sur le site, avec l’onglet «Exploration »

La Search Console : la boule de cristal du référencement

De nombreux outils permettent en effet de suivre le référencement naturel d’un site. Bien que l’interface de la SC vous propose un suivi échantillonné sur 1000 mots-clés, vous pourrez obtenir davantage d’informations via l’API Search Console. Néanmoins, la GSC a cet énorme avantage d’être gratuit.

De plus, elle permet, dans son ancienne version, un suivi du référencement et du trafic naturels du site dans les SERPs (les pages de résultats de recherches) sur une durée de 90 jours avec :

  • Une visibilité sur les requêtes qui génèrent du trafic sur votre site: en effet, la Search Console vous permettra d’avoir une véritable visu sur les keywords générant du clic
  • Une visibilité sur les pages générant du trafic: vous pourrez également visualiser les pages qui génèrent du clic ainsi que leur nombre d’impression, leur CTR et leur position
  • Un suivi sur l’évolution du positionnement dans le temps: vous pourrez comparer les périodes de votre choix afin d’observer l’évolution de votre site (NB : le fonctionnement de la SC n’est pas rétroactif et vous ne pourrez comparer les périodes qu’à partir du moment de la création de celle correspondant à votre site)
  • Une vision de la popularité individuelle de vos contenus: la GSC permet de savoir quelle page est la plus populaire aux yeux de Google
  • Une visibilité sur les backlinks: vous pourrez savoir quel site vous fait le plus de liens et ainsi monitorer la qualité de ces sites à l’aide d’outils complémentaires comme Ahrefs ou Majestic

En résumé, d’un point de vue référencement naturel, la Search Console permet d’avoir une représentation globale de la présence du site dans les SERPs.

La GSC : le contrôle technique simplifié du site

En plus de vous orienter dans le référencement de votre site, la Search Console permet également d’en relever les faiblesses techniques.

Vous pourrez ainsi :

  • Vérifier l’ergonomie mobile de votre site: cet outil permet notamment d’identifier les problèmes pouvant rendre la consultation du votre site difficile sur les mobiles (qui, rappelons-le, représentait fin 2017 37% du trafic depuis les SERPs – source 50 faits sur le mobile SEMRUSH)
  • Travailler l’optimisation sémantique des balises importantes (title, meta-description) : sans avoir besoin de crawler le site ou de faire une analyse pointue, la SC vous remonte certains soucis d’ordre sémantique pouvant nuire à votre référencement (titles en double, meta-descriptions manquantes, etc…)
  • Voir à quoi ressemble votre site dans les SERPs : grâce à cet outil Google, vous pourrez voir l’apparence de « l’annonce » de votre site dans les SERPs et ainsi voir à quoi elle ressemble en intégrant les données structurées (ou richsnippets). Vous pourrez également contrôler le bon fonctionnement du code implémenté pour ces données structurées.
  • Vous assurer de l’implémentation du format AMP (si vous l’utilisez) : pour rappel, le format AMP est une version simplifiée et épurée de certains éléments HTML de votre site afin de diminuer le temps de chargement des pages sur un support mobile. La SC vous permet donc d’en vérifier la bonne implémentation.

La Search Console : le judas sur le comportement de Google sur votre site

Comme vous le savez (ou peut-être pas si vous n’êtes pas familier du milieu), Google, ou plutôt ses robots, les Googlebots, se promènent sur votre site et le visitent plus ou moins régulièrement.

Ces visites permettent à Google de répertorier les pages que vous souhaitez voir apparaître dans les SERPs, vous offrant ainsi une visibilité et donc potentiellement du trafic (car oui, même si votre page apparaît dans les SERPs ce n’est pas dit qu’elle génère du clic, cela dépendra notamment de son positionnement). Et inversement, de ne pas répertorier et indexer les pages que vous jugerez sans valeur ajoutée pour vos utilisateurs/lecteurs (comme par exemple les CGV, les mentions légales, etc…).

Grâce à la GSC, vous pourrez alors :

  • Déclarer un ou plusieurs sitemaps : un sitemap est un fichier au format .xml qui recense toutes les URLs que vous jugerez intéressantes afin d’en faciliter le recensement par les moteurs de recherche, et donc Google. Il sera possible de le rendre dynamique afin de l’actualiser automatiquement. Déclarer un sitemap dans la Search Console permet de comparer le nombre réel d’URLs soumises au nombre d’URLs indexées par Google (et donc de s’assurer qu’il les indexe bien toutes).
  • Savoir si Google accède correctement à vos contenus : la SC vous indiquera notamment les pages introuvables (qu’elles aient été supprimées ou simplement déplacées par exemple), les pages inaccessibles (bloquées dans le fichier robots.txt par exemple ou ayant la directive no-index) et les erreurs serveurs.

Vous aurez également la possibilité de demander la suppression de certains contenus. Attention néanmoins, cette manipulation est temporaire (90 jours). Si vous souhaitez la suppression définitive de votre page, il faudra non seulement supprimer la page de votre site mais également supprimer la mise en cache de Google de celle-ci. Cela évitera que Google en conserve une trace faussée et l’estime donc toujours valide. Mais si vous êtes perdu parmi toutes les possibilités que vous offre la Search Console, n’hésitez pas à prendre contact avec nous via le formulaire de contact 😉

Comment configurer la Search Console de son site ?

La création de l’outil peut se faire en 5 grandes étapes :

  • L’ajout du propriété Search Console
  • Choisir un domaine de préférence
  • Sélectionner votre pays cible (facultatif)
  • Rattacher votre compte Google Analytics (si vous en possédez un) à votre Search Console
  • Ajouter un sitemap

Le début : l’ajout de la propriété SC à votre site

Commençons par le début.

Vous devrez tout d’abord vous connecter à la Search Console (par ici s’il vous plait) et cliquer sur « Ajouter une propriété ».

Vous aurez juste à copier/coller l’URL de votre site dans le champ dédié.

Alors non, ce n’est pas fini, ce n’est que le commencement !

Après avoir déclaré votre site dans l’outil, vous devrez prouver que vous en êtes bien le propriétaire (et oui, Google prend ses précautions à ce sujet). Pour ce faire, 5 méthodes vous sont proposées :

  • La balise HTML
  • Faire appel à votre fournisseur de nom de domaine
  • Connecter votre Search Console à votre Google Analytics (que nous développerons plus loin)
  • Utiliser Google Tag Manager
  • L’import d’un fichier HTML fourni par Google (il s’agit là de la méthode recommandée par Google)

Une fois que vous avez prouvé que vous êtes bien propriétaire du site que vous déclarez, vous pourrez passer à la seconde étape du processus.

Sélectionner un domaine de préférence

Une fois la première étape finalisée, vous allez devoir indiquer à Google quelle version de votre domaine vous souhaitez qu’il prenne en compte :

  • Celle avec les « www » (https://www.clustaar.com)
  • Celle sans les « www » (https://clustaar.com)

Petit tips (nous essaierons de vous en mettre le plus souvent possible !) : Dans le cas où votre site aurait une forte volumétrie, vous avez la possibilité dans la SC de créer une Search Console par répertoire-pays ou par langue (par exemple) et donc d’avoir un suivi de 1000 mots-clés par dossier.

Vous pourrez également signaler à Google que vous n’avez pas de préférence dans le choix du domaine. Attention néanmoins à cette proposition : celle-ci laisse le champ libre à Google dans le choix et il peut donc choisir de traiter les deux versions comme des domaines différents l’un de l’autre.

Cela pourra, à terme, impacter la popularité reçue par votre site en provenance des backlinks.

De plus, quelle que soit votre préférence de domaine (avec ou sans les « www »), nous vous recommandons de rediriger en 301 celui que vous n’aurez pas choisi vers le domaine de préférence. Vous serez ainsi sûr que, lorsqu’un utilisateur tapera l’URL de votre site dans sa barre de navigation, il le trouvera facilement.

Choisir un pays cible pour votre site (facultatif)

Comme vous vous en doutez, Google est capable très facilement de déterminer le pays d’origine de votre site, notamment grâce à certaines données comme :

  • Votre ccTLD (votre country code top-level domain) qui représente un domaine de premier niveau national (par exemple .fr pour la France ou .ca pour le Canada)
  • Les adresses physiques qu’il pourra trouver en visitant votre site (par exemple dans les mentions légales avec l’adresse du siège social)
  • La localisation de votre serveur
  • Le pays dont vous obtenez le plus de backlinks

Google part du principe que plus vous lui fournirez d’informations, mieux ce sera car le ciblage et les datas seront alors plus précis.

Vous pourrez tout de même modifier manuellement le ciblage géographique avec la Search Console que vous venez de déclarer.

Pour cela, voici les différentes étapes et manipulations à réaliser :

  • Cliquez sur l’onglet « Trafic de recherche » puis sur « Ciblage international »
  • Cliquez ensuite sur l’onglet « Pays »
  • Sélectionnez la checkbox « Emplacement des utilisateurs cibles » et choisissez le pays souhaité dans la liste déroulante

Attention néanmoins, le fait de sélectionner un pays cible peut se révéler être un frein pour le référencement de votre site. En effet, pour un blog en français susceptible de toucher une audience originaire des Antilles par exemple, le choix d’un pays cible peut limiter la portée du site à la France métropolitaine.

Lier votre compte Google Analytics et votre Search Console

Au cours de l’année 2013, Google a décidé de forcer les sites à se sécuriser davantage et donc à utiliser le protocole https, ce qui, à l’époque, a impacté les données récoltées par Google Analytics concernant les mots-clés.

En effet, ceux-ci apparaissaient en « not provided ».

Mais heureusement, il est possible, en liant les outils Google entre eux, de récupérer les données apparemment perdues. Pour cela, il suffisait de lier votre compte Google Analytics à votre GSC. Attention toutefois, les données restent malgré tout échantillonnées sur un volume de 1000 mots-clés.

Alors même si nous sommes en 2018 et que votre site est sûrement en https (ou peut-être pas), voici la procédure à suivre afin de lier votre compte GA à votre Search Console et ainsi pouvoir croiser les données :

  • Allez sur votre compte GA et cliquez sur le bouton « Admin » (en bas à gauche)
  • Sélectionnez ensuite « Property settings » et descendez jusqu’à avoir le bouton « AdjustSearch Console », cliquez
  • Cliquez ensuite sur « Add » (un petit bouton bleu assez discret)
  • Descendez jusqu’à trouver votre site, sélectionnez-le et cliquez sur « Save »

Et voilà : votre GA est relié à votre SC !

Déclarer un sitemap.xml pour votre site

Comme dit précédemment, l’ajout d’un sitemap.xml dans votre Search Console facilitera le travail de Google concernant le référencement et l’indexation de votre site (ou plutôt des pages que vous jugerez intéressantes pour vos utilisateurs). Cela permettra également de faciliter le travail en cas de migration de site (par exemple lors d’un passage du http au https).

Si vous possédez un petit site, un seul sitemap sera nécessaire.

Si à l’inverse vous possédez un gros site, vous pourrez alors mettre en place plusieurs sitemap.xml dont :

  • Un sitemap_index.xml qui recensera tous vos sitemaps
  • Un sitemap.xml par typologie de pages (pour un e-commerce par exemple)
  • Un sitemap_images.xml qui recensera toutes vos images (et oui, le référencement des images a également un rôle important dans le positionnement de votre site dans… Google Images).

Quoi qu’il en soit, avant de déclarer un sitemap dans l’outil GSC, il faut générer ce fameux fichier sitemap.xml.

Si votre site est géré via WordPress, vous pourrez en générer un assez facilement grâce au plugin Yoast. Vous n’aurez qu’à glisser le bouton sur « on » dans l’onglet « Général/Features » du plugin.

Cliquez ensuite sur le lien « See the XML Sitemap » pour récupérer le lien de votre sitemap.

Si vous utilisez un crawler comme Screaming Frog, celui-ci pourra vous permettre d’en générer un statique que vous pourrez par la suite implémenter sur votre site. Attention à ce que le sitemap soit rendu dynamique afin de ne pas avoir à faire la mise à jour manuellement.

Si vous n’êtes pas sous WordPress ou que vous n’utilisez pas Screaming Frog, selon votre CMS vous pourrez trouver des plugins vous permettant de générer le graal du sitemap.xml. Attention à bien vérifier que le plugin soit correct et ne crée pas des failles de sécurité sur votre site (un conseil : lisez bien les commentaires des utilisateurs ou renseignez-vous sur les forums !)

La déclaration de votre sitemap.xml est ensuite extrêmement simple :

  • Cliquez sur l’onglet « Exploration » puis sur « Sitemaps »
  • Cliquez ensuite sur « Ajouter/Tester un sitemap »
  • Renseignez l’adresse de votre sitemap (par exemple https://clustaar.com/sitemap.xml) et cliquez sur « envoyer »

Et voilà ! Votre sitemap est déclaré dans la GSC !

Maintenant que vous savez à quoi peut servir cet outil Google et comment le paramétrer pour votre site, Clustaar va vous présenter sa nouvelle version récemment déployée.

Et la nouvelle Search Console alors dans tout ça ?

Comme nous vous le disions précédemment, Google a commencé début 2018 à déployer une nouvelle Search Console, accessible via le lien « Essayez la nouvelle Search Console ».

Actuellement, cette nouvelle version est toujours en bêta-test (pour les néophytes, il s’agit de la deuxième période de test d’un produit avant sa publication) et tous les nouveaux outils ne sont donc pas encore disponibles.

Pour les anglophones, vous pourrez également retrouver le lien de la présentation officielle  sur le Googleblog des webmasters.

Pour en revenir à nos moutons, que va donc proposer cette nouvelle SC ? Tout d’abord, sachez qu’elle est accessible directement depuis ce lien et que, dans un premier temps, vous aurez aussi bien accès à cette version qu’à l’ancienne, le temps pour Google de faire la passation dans son intégralité.

Mais quelles nouveautés attendre de cette nouvelle version ?

Des données disponibles sur une période plus importante

Alors que nous étions habitués à n’avoir que 90 jours de données disponibles dans le rapport Search Analytics, nous pourrons désormais avoir accès à 16 mois de données (ce qui est tout de même plus objectif pour les analyses que 90 jours).

De plus, cela sera de manière rétroactive, ce qui implique que vous pourrez récupérer les données des 16 derniers mois à condition que vous ayez préalablement déclaré une Search Console pour votre site.

Google a publié un guide complet concernant le rapport sur les performances afin d’éviter que tout le monde se perde. Nous vous invitons à lire, et si des questions subsistent n’hésitez pas à nous les poser 😉

Un nouveau rapport : l’index coverage, ou l’état de l’indexation

Alors en quoi consiste ce nouveau rapport ?

En réalité, ce rapport existait déjà dans la version précédente de la SC, il était néanmoins beaucoup moins précis que celui que la nouvelle GSC va nous proposer.

Tandis que jusqu’à présent ce rapport ne nous donnait accès qu’au nombre total d’URLs indexées dans l’index de Google et celles que nous avions volontairement bloquées dans le fichier robots.txt, le nouveau rapport de l’état de l’indexation va beaucoup plus loin.

En effet, désormais si des problèmes impactent l’indexation de certaines de vos pages, ce rapport vous mettra en avant des alertes ainsi que des liens vers d’autres outils Google pouvant aider le webmaster du site à diagnostiquer le(s) problème(s) et donc à le(s) résoudre.

En plus de vous alerter des éventuels problèmes, le rapport d’état d’indexation vous dira clairement le volume de pages concernées par cette non-indexation et la raison (présence d’un no-index dans le header, une directive disallow dans le robots.txt, etc…).

Vous aurez également la possibilité de cibler une problématique précise et de la partager aux personnes souhaitées (webmaster, agence SEO, etc…) afin de faciliter sa résolution si ces personnes n’ont pas accès à votre Search Console.

Une fois les différents problèmes résolus, vous pourrez l’indiquer à Google, ce qui l’invitera à crawler plus rapidement ces pages afin de mettre à jour son index plus rapidement qu’auparavant.

Et petit bonus, dans le cas des sites à forte volumétrie ayant déclarer plusieurs sitemaps.xml (comme nous vous l’expliquions plus haut dans l’article), vous pourrez filtrer votre vue du rapport en fonction du sitemap.xml qui vous intéresse.

L’AMP voit son rapport Search Console actuel évoluer

Nous vous expliquions précédemment que les AMP (ou Accelerated Mobile Pages) étaient des pages épurées et allégées afin que leur chargement soit beaucoup plus rapide sur un support mobile (type smartphone).

Dans la précédente version de la Search Console, vous pouviez avoir connaissance :

  • Du nombre de pages AMP indexées par Google
  • Du nombre de pages AMP comportant des problèmes pouvant nuire à leur indexation

Si certaines de vos pages AMP étaient signalées comme ayant un problème, celui-ci était expliqué en dessous accompagné de la gravité du problème et du nombre de pages contenant des erreurs.

Désormais, en plus de ces données-là, vous connaîtrez également le nombre d’impressions de vos pages AMP mais vous aurez également la possibilité, en cliquant sur la problématique souhaitée, de déclarer cette dernière comme résolue.

Cela permettra, à nouveau, à Google de maintenir son indexation à jour plus facilement et plus rapidement, la résolution d’un problème incitant Google à crawler les pages concernées le plus tôt possible.

Google s’intéresse désormais à l’optimisation des offres d’emploi

Alors que jusqu’à présent les offres d’emploi ne représentaient pas de réel intérêt SEO pour un site lambda, Google souhaite s’y intéresser un peu plus avec le nouveau rapport d’état sur les offres emplois déployé dans la nouvelle SC.

Attention néanmoins, pour que vous puissiez avoir accès à ce rapport il sera nécessaire que les richsnippets (ou extraits enrichis) aient été implémentés dans le code source de vos annonces.

Mais qu’est-ce que les richsnippets ?  Ce sont des données structurées venant augmenter la visibilité de votre annonce dans les SERPs de Google.

Par exemple, pour une recette de cuisine, la photo du plat recherché pourra être signalée à Google en tant que richsnippet.

Pour en revenir aux offres d’emploi, il est également possible d’enrichir vos annonces par exemple :

  • La date de publication
  • La description du poste
  • Le nom de l’entreprise qui recrute
  • Le salaire de base
  • Etc…

Google a déployé un outil afin de tester vos annonces et la compatibilité de vos richsnippets.

Pour en revenir aux possibilités qu’offre la nouvelle Search Console, celle-ci vous permettra :

  • De connaître les erreurs empêchant l’affichage des extraits enrichis des annonces
  • De savoir si Google peut ou pas accéder à vos pages

Vous pourrez par la suite signaler les corrections apportées à vos annonces et ainsi faciliter leur indexation. Etant donné qu’il s’agit d’un nouveau rapport proposé par la nouvelle Search Console, nous vous invitons à lire l’aide publiée par Google à ce sujet. Et encore une fois, si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à revenir vers nous 😉

En résumé…..

Vous savez désormais à quoi correspond la Search Console et comment la paramétrer et vous avez également pu entrapercevoir avec nous les premiers pas avec la version bêta de la nouvelle SC.

Et pour résumer ce début d’année 2018, celle-ci tend à nous apporter des évolutions de l’outil GSC vers de nouvelles possibilités mais également à développer ce qui était déjà mis en place.

Bien qu’actuellement nous n’ayons pas tous accès à la nouvelle Search Console et que toutes les nouvelles fonctionnalités n’aient pas été déployées, nous pouvons espérer de bonnes surprises pour le semestre à venir et 2019.

Maintenant, il s’agit de savoir comment optimiser votre stratégie SEO à l’aide de cet outil Google, et donc générer du trafic gratuitement et efficacement, et pour ça, nous vous donnons rendez-vous dans le prochain article dédié !

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